Temps de lecture : 3 min
-
Ajouter à mes favoris
L'article a été ajouté à vos favoris
- Google News
Lecture audio réservée aux abonnés
Twitter est le théâtre d’une polémique acérée entre, d’un côté, l’auteur du best-seller « Le cygne noir », Nassim Nicholas Taleb, et, de l’autre, une ribambelle de têtes pensantes renommées. L’objet de l’ire talebienne ? Le culte que vouent les psychologues et experts au « quotient intellectuel », ce test né au début du XXe siècle et affiné depuis, qui mesure l’« intelligence générale » – le raisonnement abstrait et la capacité à résoudre des problèmes et à acquérir des connaissances. Pour Taleb, le QI ne serait qu’une « escroquerie pseudo-scientifique » qui ne permettrait en aucun cas de décrire et de mesurer ce qu’est réellement l’intelligence.
Complexité. On pourrait penser que cette bataille ne concerne qu’une poignée d’experts. Rien n’est moins sûr, au vu de l’importance qu’a pris...
illustration : Tartaris pour « le point »
Un jour je vous raconterai l'Histoire de l'enfant de l'assistance*, du dentiste et du clerc de notaire. Elle vous plaira. * : Oui, en ces temps, on ne disait pas encore la DDAS.
Bonjour
je suis bien d'accord et on peut même aller jusqu'aux chasseurs-cueilleurs qui étaient beaucoup plus "débrouillards" que nous (pour ne pas utiliser le mot intelligence), parce qu'ils étaient en éveil permanent et avaient davantage de problèmes à resoudre que nous, pour survivre.
les QI ne sont pas un outil universel et ne mesurent avec efficacité que dans notre environnement culturel et à notre époque.
le QI demande une population homogène.
cdt
Devons-nous en conclure qu’il était idiot ? Taleb oublit que pour devenir riche, il faut avant tout en avoir la forte volonté. C’est d’ailleurs ce qui caractérise ceux qui s’enrichissent : Ils sont obsédés par l’argent.
D’autres peuvent être passionnés par la peinture, la musique, la mécanique quantique, etc. Ce qui ne les rend pas forcément moins intelligent.